Création de l'industrie du film au Québec (La)

Création de l'industrie du film au Québec (La)

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... Arthur Lamothe rédigea (en anglais) un télégramme aux autorités fédérales : « POLITIQUE FILMS COMMANDITÉS PAR RADIOCANADA INACCEPTABLE INDUSTRIE DU CINÉMA AU QUÉBEC MENACÉE DE MORT PRODUCTEURS REFUSENT ÊTRE TRAITÉS EN ESCLAVES DU MONOPOLE D’ÉTAT. ...

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... Son ministre JeanNoël Tremblay était alors à Paris, en train de consulter « au plus haut niveau » à propos des lois sur le cinéma, dit-il. ...

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... CHAPITRE 7  •  Premiers résultats au fédéral : 1968-1970 183 La SDICC n’avait pas encore de règles pour traiter les nombreuses demandes qu’elle recevait40. ...

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... Après avoir reçu son diplôme de l’Université Laval, Cloutier étudia à La Sorbonne et commença à pratiquer à La Salpêtrière, à Paris. ...

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... Cloutier avait été éduqué à Paris, où il avait commencé sa pratique de la médecine. ...

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... La seule question qui amena des bureaucrates du MAC à Ottawa fut la discussion à propos du traité de coproduction cinématographique France-Canada. Les intellectuels du Québec étaient tournés vers l’est – vers la France. ...

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... Il apportait aussi des positions idéologiques acquises à Paris. Le 22 juin 1971, l’organisation changea son nom pour La Cinémathèque québécoise et, l’année suivante, Daudelin remplaça la Française Françoise Jaubert en tant que directeur général. ...

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... Espérant recevoir un meilleur traitement médical pour sa femme arthritique, il laissa ses deux filles en Angleterre et retourna avec Betty à Ottawa en 1969. ...

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... Seul Kamouraska de Claude Jutra reçut un traitement digne d’un long métrage. ...

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... (Dans d’autres pays, on parlerait de « coproduction », mais le gouvernement américain ne voulait pas signer de traités de coproduction pour des films.) ...