... Au xixe siècle, en médecine populaire, le traitement de la rifle ou des teignes se faisait avec un sirop d’écorces de tremble. Une condition cependant : l’écorce doit être prise « dans la sève du bois et dans le plein de la lune ». ...

Curieuses histoires d'apothicaires
... Cicéron traite le pharmacopole d’Ancone de « misérable charlatan, drogueur et empoisonneur ». ...
... Il traite aussi certaines maladies de peau. La teinture de benjoin existe toujours en pharmacie et a les mêmes indications. La myrrhe* était aussi recherchée. ...
... L’achillée est connue de plusieurs peuples amérindiens qui l’emploient pour arrêter la diarrhée, comme apéritif, stomachique*, diaphorétique* et pour traiter les blessures mineures. ...
... Il publie en 1533 un traité sur les maladies propres aux mineurs. Il retourne à Salzbourg en 1540 où il meurt l’année suivante dans des circonstances mystérieuses. sa médecine. ...
... chapitre 4 • les miracles de paracelse 53 Il lui donnera le nom de laudanum (laudanum de Sydenham), mot aussi utilisé par Paracelse pour désigner une tout autre préparation (sans opium) qu’il utilisait aussi pour traiter la dysenterie. ...
... Il veut leur démontrer qu’il possède la bonne méthode et que Galien* ne faisait que des spéculations. « Celui qui prétend traiter le patient en le faisant vomir ou transpirer se trompe : il ne prend pas en considération la diversité de l’homme et ne tient ...
... Là, il se met à dos les apothicaires et les médecins, publie un traité contre la vérole et différencie la syphilis et les autres maladies vénériennes. Il parle de l’usage intensif des onguents de mercure pour Monument de Paracelse à Salzburg. ...
... Il apporte, entre autres, la notion de spécificité de la maladie qui doit être traitée par des médicaments spécifiques. ...
... Il faut au moins de six à sept mois avant d’avoir une réponse aux lettres envoyées en France. Lors d’un voyage précédent, Champlain a rapporté une herbe utilisée par les Amérindiens. ...