... Dans son traité De historia stirpium, il nomme cette plante Turcicum Frumentum, le froment ou blé de Turquie. Il indique aussi que cette espèce est présente dans tous les jardins. ...

Curieuses histoires de plantes du Canada, tome 1
... En 1537, la seconde édition du traité de botanique de Ruel est imprimée à Bâle. Dans les traités postérieurs à celui de Ruel, on ne décèle pas la terminologie de Cartier qui réfère au mil du Brésil. ...
... Le lexique du récit de 1534 contient sept noms botaniques : Anougaza (amandes), Asconda (figues), Cacacomy (pain), Caheya (noix), Honesta (pommes), Sahé (fèves) et Haueda (arbre vert). ...
... Plantes divinisées et pratiques rituelles nahuas dans le Traité des superstitions d’Alarcon (1629) », Recherches amérindiennes au Québec, 1997, 27 (3-4) : 69-83. ...
... Il s’agit probablement d’une figure de style pour indiquer le nombre élevé de rameaux requis pour préparer la décoction suffisante pour traiter près d’une centaine de personnes. ...
... La connaissance de la syphilis et de ses traitements Jacques Cartier et certains membres de son équipage ont probablement des connaissances médicales de base. ...
... L’auteur spécifie que neuf années de traitement au mercure ont été sans valeur, alors que le traitement au gaïac a été efficace au cours de l’année précédant la publication de son livre. ...
... Le guaiacum n’est pas présent dans les traités botaniques de Otto Brunfels (1530), Conrad Gessner (1541) et Leonhart Fuchs (1542). ...
... Par exemple, ils sont déjà familiers avec le commerce du bois de gaïac servant à traiter la syphilis. La liste partielle de l’équipage du voyage de 1535 incluait François Guitault considéré comme un apothicaire. ...
... En 1553, il publie aussi un traité sur l’embaumement. En 1556, Belon reçoit une pension du roi Henri II et Charles IX le loge au château de Madrid (ou Maldric) au bois de Boulogne. ...