... Des « sept sortes » de rouge, il n’y en a que quatre dont on produit des nuances. Les trois principales « drogues » pour le rouge sont le vermillon, la cochenille et la garance. ...

Curieuses histoires de plantes du Canada, tome 2
... L’iris versicolore (Iris versicolor) est utilisé pour ses racines pour traiter des blessures atteignant les os. L’herbe à puce (Toxicodendron radicans) est très toxique. ...
... Le rouge est obtenu de sept plantes dont le gaillet des teinturiers (Galium tinctorium). Les Français du Canada appellent cette plante des lieux humides « tissavojaune rouge ». Les Amérindiens utilisent la racine pour teindre les poils de porc-épic. ...
... Pour la couleur brune, on fait usage de la partie externe des noix de noyer traitée à l’eau chaude avec de l’alun ou de l’étain. ...
... Les poules et les canards deviennent d’ailleurs malades s’ils ingurgitent une seule semence traitée avec la racine toxique. Le maïs issu de ces semences traitées n’est pas toxique pour l’humain. ...
... C’est pourquoi on le retrouve dans ce traité des mauvaises herbes du Canada du début du xxe siècle. ...
... Source : Duhamel du Monceau, Henri-Louis, Traité des arbres et arbustes qui se cultivent en France en pleine terre, tome 1, planche 11, Paris, 1755, p. 36. Bibliothèque de recherches sur les végétaux, Agriculture et Agroalimentaire Canada, Ottawa. ...
... M. de La Galissonière a informé Bigot que des botanistes français ont été « bien traités et même défrayés » lors de leur visite en Suède. ...
... En 1749, Gaultier obtient une concession de traite et de pêche à la baie des Châteaux, au Labrador, et des gratifications supplémentaires de 500 livres en 1752 et 1753. Il est de plus médecin à l’HôtelDieu de Québec. ...
... On brûle toutes sortes de substrats, comme la paille, les excréments et les cornes d’animaux en utilisant le vent pour diriger la fumée vers les plantes à traiter. ...