Curieuses histoires de plantes du Canada, tome 4

Curieuses histoires de plantes du Canada, tome 4

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... Pour Fletcher, le meilleur traitement pour empêcher sa dissémination est celui du professeur L. R. Jones de Burlington au Vermont, qui utilise 1 tonne et ½ à l’acre (18 livres à la perche carrée) de sel sec distribué à la volée. ...

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... Quant à la quatrième classe des traitements de grande médication, celle des antiphlogistiques, il ...

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... Une liste des noms latins et français de la plupart des plantes médicinales indigènes dans la troisième édition (1890) du Traité élémentaire de matière médicale et guide pratique des Sœurs de Charité de l’Asile de la Providence est présentée à l’appendice ...

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... De plus, les graines vertes (non matures) servent à préparer un extrait liquide afin de traiter les maux d’oreille. ...

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... Il peut être employé dans le traitement des scrofules, la lèpre, les dartres, la teigne, etc. « On le donne même à l’intérieur, mais c’est surtout à l’extérieur qu’on l’emploie, en bains, en lotion, en onguent ». ...

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... Cette espèce introduite présente des propriétés médicinales colligées dans l’édition de 1890 du Traité de matière médicale des Sœurs de Charité de l’Asile de la Providence. ...

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... La racine de cette espèce, indigène en Ontario, est, selon l’édition de 1890 du Traité de matière médicale des Sœurs de Charité de l’Asile de la Providence, « tonique, altérante, apéritive, diurétique, laxative, désobstruante ». ...

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... La racine du phytolaque sert à traiter, à petites doses, les rhumatismes chroniques. ...

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... En 1888, sa première publication au Canada traite d’une maladie des pommiers. Au fil du temps, son expertise grandit de plus en plus vers l’étude des plantes fossiles. ...

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... Dans cet ouvrage, Laroque traite, de façon assez détaillée, des principales espèces potagères et fruitières, incluant la vigne et le tabac. ...