... ’ Apprentissage linguistique et consolidation du statut du cantique dans l’apostolat : l’exemple des religieuses missionnaires Le séminaire des ursulines destiné à l’instruction des filles s’ouvre à Québec en 1639, avec l’arrivée ...

De l'oreille au coeur
... L’annaliste de l’Hôtel-Dieu de Québec rappelle à cet égard que, lors de l’arrivée des premières hospitalières à Québec, celles-ci reçurent du père Le Jeune les prières et le catéchisme en langue algonquine, qu’elles durent apprendre par cœur afin de contribuer ...
... Certes, les constitutions et règlements des ursulines de Québec (1647) prévoient un temps d’étude quoditien consacré à l’exercice des langues sauvages (Constitutions et règlements, 1974, p. 147). ...
... S’appliquant à étudier la langue algonquine, qu’elle considère comme « la plus grande crois de Canadas », la mère Madeleine Guénet de Saint-Ignace, première supérieure de l’Hôtel-Dieu de Québec, écrit en 1640 que « Les chant son facille à trouver et c ...
... À son apogée, la Nouvelle-France était divisée en sept grandes régions : l’Acadie française, insulaire et continentale ; le Labrador ; les Postes du Roi ; le Canada avec ses trois gouvernements de Québec, Montréal et Trois-Rivières ; les Pays d’en haut ...
... À Québec, en 1639, on apprend la naissance du dauphin de France ; l’événement est solennisé par une procession d’action de grâce en remerciement de cette faveur insigne du Ciel. ...
... À la fête de l’Assomption, le 15 août 1646, conformément au vœu de Louis XIII2, la population se rend à Québec en procession. ...
... La mission de Nipisiguit sera abandonnée en 1666, après le départ pour Québec du père André Richard. Celui-ci reviendra toutefois desservir occasionnellement ses anciens néophytes. En 1675, on rapporte qu’il séjourne deux mois parmi eux. En 1673, ...
... Missions huronnes Œuvre des premiers récollets, la mission huronne, abandonnée lors de la prise de Québec par les frères Kirke en 1629, est reprise et développée par les jésuites à partir de 1633. ...
... Ratelle, Trois-Rivières et Québec constituent des zones frontalières pour les populations montagnaises et algonquines, de même que pour leurs partenaires commerciaux. ...