... Toutefois, ce ne sont pas uniquement les unités canadiennes-françaises qui subissent ce traitement brutal. Presque tous les bataillons numérotés de 90 à 258 connaissent un démantèlement. ...

Dernier assaut (Le)
... À minuit précis, un raid mené par le 25e Bataillon (intégré à la même brigade que le 22e) ramène sept prisonniers à l’unité néo-écossaise au terme d’un court combat qui provoque une riposte des mitrailleuses et de l’artillerie allemandes. ...
... Morissette, enclin à y déceler un traitement discriminatoire envers les Canadiens français151. ...
... Le 15 mars, jour de son vingt-septième anniversaire de naissance, Brillant écrit à Horace et son épouse MarieLouise : « Je vous ai envoyé par malle enregistrée un petit paquet contenant un petit set en laine pour l’ami Jean. ...
... Nous aurons un canon pour couvrir chaque six verges carrées de terrain que nous prenons et chaque canon tire entre sept à douze rondes à la minute. ...
... Sept des 25 Canadiens fusillés (28 %) sont des Canadiens français. Avec 5 fusillés, le 22e Bataillon est l’une des deux unités comptant le plus de combattants exécutés. ...
... Les hommes qui y sont hospitalisés sont donc bien traités. Jean Brillant n’y passe pourtant qu’une seule journée. Le diagnostic des médecins en est la cause. ...
... Par ailleurs, le traitement de la gonorrhée se veut aussi embarrassant que douloureux. En effet, le fléau n’inspire aucune indulgence de la part de l’armée. On peut même parler de stigmates chez les militaires concernés. ...
... « Un ennemi formidable » 133 à l’égard de ce danger, transfert dans des établissements spécialisés, où les infirmières n’étaient pas autorisées à soigner des patients « malpropres », permissions refusées, solde réduite, sinon annulée, le temps du traitement ...
... Cet état de fait est officialisé le 3 mars suivant par la conclusion du traité de paix de BrestLitovsk. Le traité impose à la Russie des conditions extrêmement sévères. ...