... Aussi appelé « Ypérite », d’après le nom de la ville d’Ypres, le point du front où les Allemands y ont recours pour la première fois, en juillet 1917. ...

Dernier assaut (Le)
... Jean-Louis Dionne, Musée militaire de l’Est-du-Québec). ...
... Camille Brillant et le Musée militaire de l’Est-du-Québec). ...
... Jean-Louis Dionne, Musée militaire de l’Est-du-Québec). ...
... Le 11 septembre, le pont de Québec a connu son second effondrement, la chute de sa travée centrale ayant entraîné la mort de 13 hommes. ...
... Il en va tout autrement du second, où se trouvent réunis les bagages et l’équipement du bataillon, qui déraille peu avant d’arriver à Québec. Il faut faire vite, car le train qui doit mener le 189e à Halifax attend déjà la troupe à la gare de Lévis. ...
... Arthur-Joseph Lapointe, Souvenirs d’un soldat du Québec (22 e Bataillon 191718), Les Éditions du Castor, 1944, p. 17. ...
... Brillant retrouve la ville qu’il a connue en 1911, ces immeubles noirs et sales du quartier du port qui se marient à la perfection à ce décor de grisaille propice à la déprime. ...
... Jean-Louis Dionne, Musée militaire de l’Est-du-Québec). allusion à la dissolution de l’unité, que Brillant semble encore ignorer ou omet de mentionner104. Il prévoit demeurer dans le port de Liverpool jusqu’au lundi ou mardi suivant. ...
... Lettre du 7 octobre 1916 de Jean Brillant à son frère Horace (courtoisie de Jean-Louis Dionne du Musée militaire de l’Est-du-Québec). ...