... Tommy Chouinard, « Traître ou patriote, de Jacques Godbout : trou de mémoire », Voir, le 13 septembre 2000. ...

Dernier assaut (Le)
... Mis à part les chercheurs, historiens, spécialistes et passionnés des questions militaires, l’intérêt suscité par le passé martial du Canada français est, d’une façon générale, pour le moins limité chez les francophones, un constat que pose Jacques Godbout ...
... Plusieurs années plus tard, je fis la rencontre de Jacques Brillant, un neveu du lieutenant, et j’entretins une correspondance avec lui. ...
... Depuis sa fondation, en 1870, la mission Saint-Jacques-le-Majeurde-Causapscal est desservie par les curés de Saint-Moïse et d’Amqui. ...
... Un fait noté par Jacques Cartier dans le carnet de son second voyage, en 15351536, mais dont la Commission de toponymie du Québec remet en question de nos jours l’authenticité. ...
... Jacques Meyer, La vie quotidienne des soldats pendant la Grande Guerre, Hachette, 1966, p. 364. ...
... L’archiduc François-Ferdinand, explique l’historien Jacques Chastenet, était un homme assez raide, pas commode, mais qui avait la réputation d’être plutôt slavophile ; enfin, l’intention de l’archiduc, quand il serait devenu empereur, était de créer un ...
... Le ministre des Affaires étrangères austro-hongrois, le comte Berchtold (un galant homme, mais un peu superficiel, estime Jacques Chastenet) s’imagine qu’on pourra serrer le cou de la Serbie sans pour cela déclencher une guerre générale. ...
... Jacques Chastenet, Jours sanglants : la guerre de 1914-1918, Hachette, 1964, p. 28-30. 75. L’autre avant-guerre 1871-1914, « L’explosion de 1914 », par Henri Guillemin, TSR, 1972. ...
... Les hommes mangent le peu qu’ils ont, accotés à des cadavres. » Lettre citée dans Jacques Benoist-Méchin, Ce qui demeure : lettres de soldats tombés au champ d’honneur, 1914-1918, Éditions Albin Michel, 1942, p. 63. ...