Destins de pêcheurs

Destins de pêcheurs

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... D’ailleurs, pour lui, comme pour ses fonctionnaires en poste à Québec, l’industrie de la pêche était un secteur de l’économie coloniale à exploiter expressément et leurs activités dans la région de la Gaspésie n’avaient pas été sans attirer l’attention ...

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... On le savait à Québec. Le succès des entreprises reposait sur la qualification des pêcheurs et, en ce domaine, les Canadiens n’avaient encore acquis que peu d’expérience. ...

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... Les efforts de Riverin avaient été menés à partir de Québec. Au départ, il savait qu’il ne pouvait s’installer à Matane, la seigneurie appartenant à Mathieu Damours de Chauffour. ...

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... De leur côté, Louis Jolliet et Jacques de Lalande Gayon voyaient l’amiral Phips détruire leur poste de traite à Mingan et la ville de Québec connaissait un siège que les Anglais ne levèrent que tard à l’automne, devant le danger de rester pris dans les ...

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... C’est ainsi que des pêcheurs bayonnais arrivèrent à Québec sur un navire du roi au mois d’août 1697. Il s’agit de dix marins et hommes de métier que l’entrepreneur canadien s’empressa de mettre sous contrat malgré une saison de pêche fort avancée. ...

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... Il était le fils de Pierre de Lalande Gayon l’aîné et de Marie Darassen, un couple bien en vue dans sa ville natale. ...

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... Retenu à Québec par des affaires personnelles, Lalande décida de ne pas faire le voyage et laissa aller la caiche seule. Celle-ci ne revint qu’au printemps 1680. ...

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... Ils retournèrent à Québec au mois de septembre dernier avec leur barque chargée de pelleteries et autres marchandises25. ...

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... La seconde expédition mena la flotte entière devant la ville de Québec. En cours de route, en octobre, les Anglais avaient détruit les établissements d’Anticosti, de Mingan et de Sept-Îles. ...

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... En 1687, Lalande le jeune entreprit la construction d’une maison dans la basse-ville de Québec, mais, devant effectuer un voyage dans ...