... En 1982, le Québec et le Nouveau-Brunswick respectent déjà leurs obligations à l’endroit de leurs minorités linguistiques 12. Linda Cardinal et Stéphane Lang, « Roy McMurtry, les droits des FrancoOntariens et la nation canadienne », Mens. ...

Deux poids deux langues
... Ces élargissements de la place du français dans les écoles du Canada hors Québec ne font que peu avancer la jurisprudence sur l’article 23. ...
... La priorité est axée sur les communautés minoritaires de langue officielle bien plus que sur les organismes qui font la promotion de l’apprentissage du français chez les anglophones à l’extérieur du Québec ; à titre d’exemple, Alliance Québec reçoit 2,4 ...
... La réalisation d’une « égalité réelle » devient donc son cheval de bataille : s’il critique la sousreprésentation des anglophones dans la fonction publique au Québec, Fortier s’en prend surtout à la sous-représentation du français au sein des institutions ...
... Il relance ainsi les pourparlers avec le gouvernement libéral du Québec, élu en décembre 1985. ...
... Dans son effort de reconnaître le caractère distinct du Québec au sein du Canada, Mulroney souhaite ne pas s’aliéner les francophones hors Québec ainsi que les Anglo-Québécois. ...
... La mesure, selon le premier ministre David Peterson, représente aussi un geste de bonne foi envers le Québec, froissé par l’adoption d’un accord constitutionnel sans sa signature en 198246. ...
... À l’inverse du bilinguisme officiel et universel – voie choisie par l’État fédéral et le Nouveau-Brunswick –, l’Ontario privilégie l’approche du Québec, qui restreint le bilinguisme de services à des territoires désignés et aux bureaux centraux. ...
... Ces villes se déclarent unilingues anglaises dans les mois qui suivent l’entrée en vigueur de la loi 8. Qui plus est, des menaces de mort, émises à l’hiver 1990, incitent des dizaines de francophones à déménager vers des villes plus hospitalières. ...
... la nécessité de soutenir les communautés, notamment vivant en contexte minoritaire, qui nourrissent la dualité linguistique, puis corrige le tir pour les critiques l’accord du Lac Meech, dont les cinq composantes tendaient à réduire la dualité à un Québec ...