... anglophone (Waterloo et Kingston) et des villes bilingues (Ottawa et Sudbury) sans difficulté. ...

Deux poids deux langues
... Nicolas Landry et Nicole Lang, Histoire de l’Acadie, 2e édition, Québec, Septentrion, 2014, p. 77-82. ...
... La cession de la Nouvelle-France à la Grande-Bretagne par le traité de Paris (1763) amène des changements graduels dans la nouvelle « Province of Quebec ». ...
... Dickinson, « L’anglicisation », dans Michel Plourde (dir.), Le français au Québec : 400 ans d’histoire et de vie, Montréal, Fides et Publications du Québec, 2000, p. 81. 9. ...
... Le déplacement d’Albany (New York) vers Montréal de marchands de fourrures pour maintenir un meilleur accès à l’arrière-pays canadien pendant et suivant la Révolution américaine contribue à angliciser la langue de commerce dans cette ville. ...
... Première assemblée du Bas-Canada à Québec, 1791, BAC e011080200. ...
... À Québec, étant donné le maintien de la majorité francophone, les 19. Lapointe-Gagnon, op. cit., p. 41 ; Marshall, op. cit., en ligne. 20. Foucher, 2018, op. cit., p. 192-193 ; Martel et Pâquet op. cit., p. 44. 21. Dickinson, op. cit., p. 84-91. ...
... Alex Tremblay Lamarche, « Les mariages mixtes à Québec dans les deux derniers tiers du xixe siècle », Cap-aux-Diamants, no 121 (printemps 2015), p. 17. 23. ...
... Parfois, les établissements sont des milieux d’intégration dans des quartiers ou des villages mixtes, comme c’est le cas à Québec où les enfants de l’élite anglophone sont instruits par les Ursulines. ...
... Article 11 (traduction), School Act of 1841, dans La constitution canadienne et les droits des francophones, Québec, Association canadienne d’éducation de langue française, 1979, p. 21. 31. ...