Docteurs, guérisseurs et fossoyeurs

Docteurs, guérisseurs et fossoyeurs

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... Ces maladies se répandent fréquemment à bord des navires amenant des immigrants à Québec… et ce sont ces navires qui apportent la maladie dans la ville. ...

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... La dernière épidémie remonte à 1854 et a fait plus d’un millier de victimes à Québec. ...

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... Dans les années 1830, on crée entre autres l’Hôpital cholérique du faubourg Saint-Jean, tandis que les malades de la typhoïde sont envoyés à l’Hôpital de la Marine, situé à la basse-ville à la Pointe-aux-Lièvres. ...

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... Les dépotoirs sont situés à l’intérieur même de la ville. Les ordures sont utilisées comme remplissage pour le prolongement des rues ou bien 93 ...

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... Dès 1765, la variolisation (inoculation de la variole) est introduite à Québec. Plus de 300 personnes ont été inoculées entre 1765 et 1769. L’effort se poursuit jusqu’en 1775, apparemment par l’entremise des chirurgiens régimentaires.  ...

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... Vivre en ville comporte certains « dangers »… Québec, avec son port et son importante garnison, grouille de jeunes hommes célibataires dont le comportement n’est pas toujours irréprochable. ...

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... Turgeon, l’hospice a été confié à Marie Métivier, une demoiselle très pieuse et bien connue pour sa grande participation dans les œuvres charitables de notre ville. ...

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... Âgées de 15 à 42 ans et célibataires pour la plupart, elles sont d’origines diverses  on y trouve aussi bien : des Canadiennes françaises que des immigrantes Irlandaises fraîchement débarquées à Québec. ...

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... Au début de la colonie, on s’improvisait accoucheuse, mais, dès 1654, on trouve au moins une sage-femme à Québec ! ...

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... Depuis les années 1830, on en trouve rarement plus de cinq ou six à Québec. ...