... du Nouveau Monde Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2025 ...

Du Tewaarathon à la crosse
... II : Établissement à Québec (1616-1634), Québec, Les Presses de l’Université Laval, 1979, p. 364. ...
... Commission de toponymie du Québec, [en ligne], page consultée le 30 octobre 2006. ...
... On rappelle que la ville de Montréal ne s’était pas encore désenclavée et ressemblait encore à ce qu’elle fut pendant le Régime français, avec ses rues étroites et ses espaces 25. La Minerve, 1er octobre 1853, p. 2. 26. Ibid. ...
... Pour contrôler les ardeurs des nouveaux adeptes de ce sport, les autorités municipales ont été obligées de bannir la pratique de la crosse dans les rues de la ville, et il était même question de l’interdire sur le Champ-de-Mars, comme en fait foi un article ...
... Pour des raisons se rapportant au mode de vie des Européens, on limite désormais le temps alloué au jeu à deux heures (sans interruption) pour s’adapter aux nouvelles réalités de la vie urbaine et industrielle de la ville de Montréal. ...
... , Toronto et autres villes du Canada, arrivaient à la ville remplis de voyageurs qui voulaient être témoins de cette grande joute de crosse entre les Capitals et les Shamrocks… À trois heures, pas un seul siège n’était disponible, et pas moins de 3 000 ...
... En 1868, la crosse est présente dans plusieurs provinces du Canada : le Québec, l’Ontario, la Nouvelle-Écosse, le Nouveau-Brunswick (voir figure 1, ci-dessous). 58. Ibid. 59. La Presse, 16 juin 1892, p. 4. 60. Le Canadien, 28 septembre 1868. ...
... Evanturel, écr., Québec ; 3e do : M. Tobin, écr., Halifax, N.-É. ; 4e do : Dr. Allen, Cornwall ; Trésorier : T.W. Maltby, écr., Montréal ; Secrétaire : Dr. W. George Beers, Montréal61. » 61. Ibid. ...
... Même si en 1868, l’Association nationale de crosse du Canada était composée en grande majorité de joueurs anglophones et autochtones, on y relève tout de même la présence d’un petit groupe de francophones, issus de la ville de Québec. ...