... Malgré son côté bonhomme, sa personnalité colorée et ses jeux de mots amusants, Duplessis aurait incarné tous les pires traits des Québécois : un homme cruel, mesquin, rancunier, hypocrite, vulgaire, ignorant et fier de l’être. ...

Duplessis est encore en vie
... Malgré ses dix-sept années d’expérience à la tête de l’organisation du parti, Bégin est remplacé par du personnel moins qualifié et moins expérimenté. ...
... Jean-Claude Trait, « Robert Rumilly : “le travail c’est ma drogue” », La Presse, 23 juin 1973, cahier E, p. 4. 13. Conrad Black, A Life in Progress, Key Porter Books, Toronto, 1994, p. 87. 14. ...
... Duplessis partage aussi cette préoccupation, allant jusqu’à traiter ouvertement le journal de « propagande […] tendancieuse, perfide et fielleuse39 ». ...
... Cette compagnie, qui comptait plusieurs administrateurs libéraux, avait versé près de 750 000 $ à la caisse électorale du Parti libéral, en échange d’un traitement de faveur pour creuser un canal à partir du fleuve Saint-Laurent et construire une centrale ...
... Ceux-ci s’attendaient à faire des pressions dans l’espoir d’avoir peut-être un traitement plus favorable auprès des 133. Robert Rumilly, op. cit., t. 2, p. 250-253. 134. ...
... Ce projet visait à exploiter de riches gisements de minerai de fer près du lac Knob, au bord de la frontière avec le Labrador, à plus de 400 km au nord-est de Sept-Îles. ...
... En fait, ce qu’il nous suggère ici, c’est que toutes les réalisations dont traite la correspondance n’auraient pas été possibles sans l’intervention personnelle de Duplessis. ...
... Les deux traits étaient en lui. La coexistence de ces deux traits est l’un de ses plus grands paradoxes, et sans doute l’une des raisons pour lesquelles il a fasciné autant de gens. ...
... La famille plie bagage et quitte Montréal pour aller s’établir dans une somptueuse demeure de sept hectares au nord de Toronto, dans le quartier très huppé de Bridle Path. ...