Émergence de la modernité urbaine au Québec (L')

Émergence de la modernité urbaine au Québec (L')

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... Les revenus provenant de différentes sources : pension, traitement des malades, salle d’asile sont d’environ trois mille dollars. Les organisations : euchres, séances, quêtes donnent à peu près deux mille cinq cents dollars. ...

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... L’âge de ces enfants varie d’un an et demi à sept ans. Il y a vingt bébés d’un an et demi à deux ans pour lesquels des petits lits ont été aménagés dans la salle même de l’asile. ...

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... l’émergence de la modernité urbaine au québec intitulée Les deux sous de la Grand’Mère, un monologue intitulé Le doigt raccourci, un numéro de gymnastique à vingt-cinq participants, etc. 46 Une telle performance, réalisée par des enfants de moins de sept ...

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... On y reçoit les enfants de trois à six ans, qui seront « sous la maternelle surveillance des religieuses » de sept heures et demie jusqu’à dix-sept heures. Les parents doivent toutefois débourser 25 ¢ par enfant par semaine49. ...

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... McQuillen, nous a dit qu’en 1869, le sept avril, M. William Finley, ancien embouteilleur de bière, traversa sur la glace du Richelieu entre St-Jean et Iberville. Le fait paru tellement extraordinaire qu’il en fut pris note dans le temps. ...

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... Ce récit mérite d’être reproduit au long : Dimanche soir, vers les sept heures, M. Hilaire Cartier, commis à l’Hôtel des États-Unis, s’engageait en voiture sur la glace en amont du pont du Vermont Central, du côté d’Iberville. ...

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...     l’émergence de la modernité urbaine au québec que Lorrain fils puise dans ses propres souvenirs quand il écrit : « L’enfant pleure son père […], sans bien savoir ce que c’est que la Mort, mais il sait qu’il ne verra plus son papa chéri, dont les traits ...

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... À l’époque, cette eau ne subissait qu’un filtrage sommaire, sans traitement anti-microbien. Et l’examen rapide de ce liquide par un journaliste était peu convaincant. ...

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... Bref, il fallut se rendre à l’évidence que, sans traitement d’épuration, l’eau de la rivière ne serait jamais potable. 8. CF, 17 avril 1908, p. 10, « L’eau que nous buvons ». ...

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... En mars 1914, on installe temporairement, à l’usine de l’aqueduc, un appareil pour traiter l’eau à l’hypochlorite de chaux, appareil qui, plus ou moins bien utilisé, s’avérera peu efficace. À cette époque, le Dr Charles F. ...