Émergence de la modernité urbaine au Québec (L')

Émergence de la modernité urbaine au Québec (L')

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... En juin 1918, répondant à de multiples plaintes, la Ville décide d’utiliser deux arroseuses en même temps, qui seront en service sept jours par semaine. On arrose aussi les rues bétonnées dans le but de les laver. ...

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... • 56    l’émergence de la modernité urbaine au québec conservé des souvenirs plus ou moins agréables ; qui n’a jamais même ». ...

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... CF, 10 mai 1907, p. 10, « Hôtel de ville ». 46. CS, 1er mai 1908, [p. 4], NL. ...

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... dans un avenir plus ou moins rapproché, à remplacer le système actuel de traction au moyen du cheval 1. » Quant à eux, les « SaintJeannois » ne verront une première automobile circuler dans leurs rues que six mois plus tard, le 30 mai 1900 : « Notre ville ...

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... Les automobiles doivent partir de Buffalo (New York) pour terminer leur course à Bretton Woods (New Hampshire) après être passées par plusieurs villes des États-Unis et du Québec. ...

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... En ce temps-là, l’autorisation de la Ville obtenue, tout commerçant pouvait décider de diversifier ses activités en vendant de l’essence. ...

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... François Marchand, manufacturier de cette ville, a brisé son automobile, ces jours derniers, en voulant s’aventurer dans le rang Richelieu, où le chemin est dans un état déplorable 12. » Le réseau routier existant est inadapté à la rapidité et à la fragilité ...

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... Aimé Lussier est le représentant en notre ville, paye cette année des sommes considérables pour l’entretien du chemin le long du Richelieu entre St-Jean et Lacolle. ...

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... Quant au cheval, il peut atteindre la vitesse de 40 km/h au galop, mais les seules allures permises dans la ville étaient le pas (6-7 km/h) et le petit trot (10-12 km/h). ...

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... CF, 16 juin 1921, p. 5, « Au conseil de ville ». 23. CF, 1er mai 1924, p. 5, « Aux automobilistes ». 24*. CF, 1er juillet 1926, p. 5, «  Arrêtons le massacre  ». ...