Erreur (L')

Erreur (L')

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... Des combats majeurs opposant insurgés et forces américaines se poursuivent aux alentours de la ville et celle-ci devient le quartier général des islamistes dirigés par Abou Moussad Al-Zarkaoui. Le constat posé par l’ancien ...

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... Le lendemain, le premier ministre irakien Iyad Allaoui visite les troupes massées autour de la ville et y ordonne un couvre-feu. ...

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... Malgré des combats durs et meurtriers, l’armée américaine semble être en mesure de reprendre le contrôle de la ville. Or, à la fin du mois de novembre, un événement vient presque remettre totalement en question l’opération. ...

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... Ce retour ne peut être que progressif tant la ville est dévastée. Aujourd’hui encore, elle n’a pas recouvré la totalité de ses 250 000 habitants. ...

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... Cette absence a eu deux conséquences : premièrement, les Américains ne disposaient pas d’une connaissance assez fine de la ville, et de ses dyna- ...

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... D’une part, ils se replient dans de grandes bases fortifiées à l’extérieur des villes au lieu de consolider leur présence à ...

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... 154 L’ E R R EU R et l’envoyé présidentiel en Irak Paul Bremer argumentent tous, auprès du président Bush, en faveur d’une vaste opération de reconquête de la ville sans jamais lui faire part des objections des fusiliers marins présents sur le terrain ...

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... , Québec, Presses de l’Université du Québec, 2006, p. 25. La rareté des informations provenant de sources extérieures à la Maison-Blanche aurait dû alerter les journalistes. ...

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... , Québec, Presses de l’Université du Québec, 2006, p. 21. Ces événements auraient pu être — et auraient dû être — critiqués, démentis et remis en contexte par les journalistes. ...

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... Une première version de ce texte a été publiée dans Karine Prémont, « Le champ de bataille des médias », Le Droit, édition spéciale, Congrès de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ), novembre 2003, p. 10-11. ...