Erreur (L')

Erreur (L')

Page 47

... Le fond du baril sera atteint en avril 2004, avec l’éclatement du scandale du traitement de prisonniers irakiens à Abou Ghraïb, qui créera un énorme problème de crédibilité et d’image pour l’armée américaine. ...

Page 63

... Après le 11 septembre, qui a été traité comme un événement à la hauteur de Pearl Harbor, les « néo-cons », comme on les surnomme parfois, ont perçu le défi lancé par Al-Qaida comme une opportunité d’accomplir un projet utopique : démocratiser le MoyenOrient ...

Page 82

... On a abouti à un système de prise de décision de plus en plus fermé et qui, parfois, a même tenu le président dans l’ignorance (comme dans le cas du traitement des prisonniers à Abou Ghraïb178). ...

Page 85

... style personnel de Bush qui ont contribué à l’erreur, notons les plus évidents et les mieux documentés188 : t (FPSHF8#VTIFTUVOQSÏTJEFOUobstiné, combatif, têtu et propice à des excès de confiance qui lui procurent le « sentiment d’avoir raison », trait ...

Page 106

... Or, selon les standards de l’armée américaine, cinq à sept divisions lourdement armées, ...

Page 137

... Les militaires américains enjoignent les civils de quitter la ville et postulent ainsi que toute personne encore présente au moment de l’assaut sera considérée, et donc traitée, comme un insurgé potentiel. ...

Page 162

... On peut toutefois le définir comme « la distorsion d’un événement au profit de quelqu’un, en utilisant des substituts tels que des communiqués de presse, des entrevues et d’autres sources renforçant certains traits, afin que l’événement paraisse sous ...

Page 169

... Quant au refus des Nations unies, de la France, de la Russie, de l’Allemagne et du Canada d’appuyer une éventuelle intervention américaine en Irak, il a surtout été tourné en dérision par les journalistes, voire traité avec mépris. ...

Page 180

... Bush aient soulevé des doutes quant aux chances de réussite de la mission américaine en Irak a également ouvert la porte, pour les journalistes, à un traitement différent de cette guerre. ...

Page 200

... À l’inverse, le président a le pouvoir de mettre un terme à la guerre et de signer un traité de paix (même si, en principe, c’est au Sénat que revient le rôle de le ratifier). ...