... Tadoussac était le lieu le plus fréquenté par les Européens et les Montagnais pour la traite des fourrures. ...

Espion en Amérique
... Il l’avait probablement rencontré à l’occasion de la construction de l’habitation de Chauvin en 1600 et lors de son voyage de traite à Tadoussac en 1602. Aussi fut-il accueilli chaleureusement à son arrivée à la pointe de Saint-Mathieu. ...
... Les Montagnais habitaient à l’est du Saint-Maurice, jusqu’aux environs de Sept-Îles. ...
... La traite des fourrures allait commencer. 51. « Travaillent à la nage » dans l’édition originale (Champlain, 1603 : 5v). 52. Bouleau. 53. Champlain nous livre ici la première description détaillée du canot amérindien. ...
... Nous passâmes près d’une île qui s’appelle l’île aux Lièvres qui peut être à deux lieues de la terre de la bande du nord, et à quelque sept lieues dudit Tadoussac, et à cinq lieues de la terre du sud. ...
... Une habitation sur l’île Saint-Quentin serait donc un comptoir idéal pour la traite des fourrures. ...
... De là, ils viennent à entrer dans une rivière qui est comme une sorte de lac175, laquelle peut contenir comme six ou sept lieues, et puis ils passent cinq autres sauts, où ils traînent leurs canots comme auxdits premiers, 168. ...
... Le 15e jour dudit mois, nous arrivâmes à Gaspé, qui est dans une baie, comme à une lieue et demie du côté du nord, laquelle baie contient quelque sept ou huit lieues de long et, à son entrée, quatre lieues de large. ...
... Les traités de démonologie consacrent de nombreuses pages à ceux-ci. On sait que les succubes font entrer en eux des hommes lors d’accouplements. Cela rappelle la poche dans laquelle le Gougou met les Amérindiens qu’il capture. ...
... Champlain et Gravé sont de retour à Tadoussac pour une nouvelle traite des fourrures (3-16 août). À Gaspé, Sarcel leur annonce qu’il a trouvé ...