... de fourrures, et notamment aux ambitions mercantiles de François Hazeur qui a dirigé l’exploitation de la Traite de Tadoussac entre 1701 et 1709. ...

Exploration du Saguenay par J.-L. Normandin en 1732 (L')
... Pour le profit de l’histoire et pour rendre hommage à la hardiesse de ces Argaunautes canadiens, revoyons en détail la nomenclature et les distances respectives de ces sauts, haltes et marches forcées, en prenant pour point de départ le poste de traite ...
... Il s’agit de Jean-Baptiste Dorval Desgroselliers qui, au dire de Hocquart et de Normandin, s’est installé à demeure, en 1731, au poste de traite du lac Ashuapmushuan. 116 ...
... Jean viennent faire leur traitte. Ces sauvages sont quatorze chefs de famille, il y a eu autre fois une maison françoise et magasin au Lac St. ...
... Autre point qui ne manque pas d’intérêt : la toponymie moderne a jugé bon d’accorder en genre quand il s’agit de la rivière (e), du lac ou du poste de traite (sans e). 62. ...
... Ce petit lac est dans le sud ouest environ six à sept lieues. La riviere de Chigoubiche court ensuitte. ...
... Quoique la distance entre l’extrémité ouest du portage et l’entrée de ce ruisseau dans le lac Chamuchuan soit seulement de deux milles et demi en droite ligne, la distance par le ruisseau et le lac est un peu au-delà de sept milles autant qu’on peut en ...
... le temps de relever ici ; sur sa carte, Normandin fait aboutir la rivière Ashuapmushuan (qu’il appelle Nicabau comme nous le savons) au sud du lac, tout près de ces petits marais, alors qu’elle arrive au contraire par le nord, à proximité du poste de traite ...
... L’histoire du poste de traite d’Ashuapmushuan se confond dans celle de Nicabau « qui est le même pays», précise Hocquart dans son Mémoire (1733) qui n’aura pas réussi à trancher pour la postérité sur son statut réel. ...
... Un grinier de meme espéce que celuy de la maison et couvert aussy d’ecorces d’epinettes. les parages depuis des années, qui y chasse, traite et essaime à la mode du pays. ...