... le tandem lacoursière-bizier 57 scénario. Mark arrivait directement de Toronto et je ne sais pas comment il avait entendu parler de Jacques. ...

Faire aimer l'histoire en compagnie de Jacques Lacoursière
... 58 faire aimer l’histoire en compagnie de jacques lacoursière On dit que vous envisagiez d’abord quatre émissions. Est-ce que l’abondance de la cueillette de Jacques vous encourageait à multiplier les émissions ? ...
... Nous avons cédé, et Jacques a cessé ses recherches sur le sujet. Je ne l’ai jamais écrit. C’est dommage, ç’aurait été le plus spectaculaire. 4. Y a-t-il eu d’autres recherchistes que Jacques ? Par exemple Hélène-Andrée Bizier ? ...
... 60 faire aimer l’histoire en compagnie de jacques lacoursière Après la diffusion du dernier épisode, Jacques, Mark et moi avons été appelés à comparaître devant la haute direction de Radio-Canada qui nous a demandé de lui préciser où nous avions faussé ...
... Quels souvenirs gardes-tu de cette collaboration avec Jacques Lacoursière ? Je garde de toute cette aventure un souvenir merveilleux. Nous étions heureux. Note personnelle : Était-ce intentionnel ? ...
... 62 faire aimer l’histoire en compagnie de jacques lacoursière toujours entretenu de très bonnes relations avec Pierre Marc Johnson, et l’épisode rapporté par Denys Arcand appartenait à un douloureux secret de famille. ...
... Est-ce l’expérience de Notre histoire, QuébecCanada qui les a mis sur les traces de Jacques Lacoursière et Claude Bouchard, qui avaient cosigné cette collection, ou la popularité des séries diffusées par Radio-Cité, en particulier celles sur l’histoire ...
... 64 faire aimer l’histoire en compagnie de jacques lacoursière doter de nouvelles presses couleur. Transmo pouvait aussi offrir un exceptionnel réseau de distribution. ...
... 66 faire aimer l’histoire en compagnie de jacques lacoursière L’arrivée en kiosque ne passe pas inaperçue. Régis Tremblay, critique d’art au Soleil, rencontre Jacques Lacoursière et Hélène-Andrée Bizier. ...
... Fils d’imprimeur, Jacques Lacoursière ajoute que les patrons de Transmo ont été tellement emballés « qu’ils se sont mis à aimer d’amour leur produit, au point qu’ils ont décidé d’investir davantage que prévu : ils ont inventé une nouvelle sorte d’encre ...