Famille et identité dans le roman québécois du XXe siècle

Famille et identité dans le roman québécois du XXe siècle

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... Ce sont des travaux de longue haleine qui font autorité pour connaître le patrimoine du Québec en matière de littérature. ...

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... Il en a été ainsi au Québec. Jusqu’à la fin du XIXe siècle, le Québec est considéré comme une société agricole malgré des amorces d’industrialisation. ...

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... Les villes de la Mauricie profitent beaucoup des aménagements hydroélectriques. ...

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... L’exode vers les États-Unis ralentit petit à petit, mais la migration vers des villes industrielles continue. De nouvelles villes apparaissent : Granby, Shawinigan, etc. ...

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... Si l’on me demandait quel est le deuxième devoir du gouvernement de Québec, je répondrais encore : c’est de coloniser. ...

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... La résultante la plus manifeste de cette situation est l’étrange hiatus entre un Québec devenu industriel et des Québécois demeurés culturellement traditionnels et ruraux11. ...

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... Le Québec rural au tournant du siècle s’y peint avec une telle vivacité que les personnages et leur milieu de vie se dessinent et s’animent sur papier. ...

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... Ainsi, Saint-Jacques se présente-t-il comme d’autres localités rurales du Québec, sous forme d’une rangée linéaire, plutôt qu’une agglomération comme dans d’autres sociétés. D’où le nom rang, appellation typiquement québécoise13. ...

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... Son fils préféré, Ephrem, attiré par la promesse d’une vie facile dans les villes, part aux États-Unis. Lucinda, sa seconde fille, s’en va aussi en ville et se fait ouvrière. ...

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... Les mariages, les visites des parents et des amis, les voyages d’affaires en ville doivent se faire pendant les moments de loisir, quand les travaux des champs le permettent. ...