Famille et identité dans le roman québécois du XXe siècle

Famille et identité dans le roman québécois du XXe siècle

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... Antoine a envie de prouver qu’il est capable de vivre sa vie sans personne à ses côtés pour lui dire quoi faire, qu’il n’est pas un gars qu’on peut traiter n’importe comment, qu’il peut décider de son sort seul. ...

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... Il lui arrive aussi d’écrire aux journaux et ses lettres sont parfois publiées : De la mi-février à la mi-mai, Marie-Lyre Flouée téléphona cinq fois à la compagnie Bell, une fois à la CTCUM, sept fois à Radio-Canada, trois fois au ministère des Affaires ...

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... Ayant tiré un trait bien propre au bas de son dossier, elle revint au début de son cahier, à la page des prospects où elle inscrivit en fin de colonne le nom Aldo B. avec la mention « trente-cinq ans, beau sourire ». ...

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... L’auteure commente : Michel avait fait d’une pierre deux coups : il aurait peut-être un enfant l’an prochain – vingt-sept ans c’est normal – et, par la même occasion, il s’assurait la fidélité de Maryse jusqu’à l’accouchement (p. 274). ...

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... Cela est d’autant plus significatif que le Canada s’est lui-même classé dans les tout premiers rangs des sept grands pays industrialisés au cours de cette décennie. Le ministre québécois des Finances, Monsieur Gérard-D. ...

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... Sept cent mille emplois (un sur quatre) dépendent des exportations qui représentent 40 % de PNB du Québec. Or, 70 % de ces exportations sont acheminées aux États-Unis. ...

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... Il ne nous appartient pas de traiter ici le problème démographique que la société québécoise rencontre aujourd’hui. Contentonsnous de relever trois raisons que l’auteure laisse entendre dans le roman. D’abord, la conception de la maternité a évolué. ...

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... C’est pourquoi elle connaît par cœur l’arbre généalogique de la famille de Myriam et peut énumérer l’ascendance de Myriam jusqu’au dix-septième siècle. ...

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... Les parents finissent par traiter leurs enfants en égaux et deviennent permissifs. Le lien du sang et la solidarité parentale n’en demeurent pas moins forts. ...

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... Le caractère distinctif de la société québécoise ne se limite pas aux traits particuliers de son identité, elle s’impose aussi par son historicité et par son cheminement particulier vers la modernité. ...