... Ensuite, sur le plan social, les secours directs restreignent la mobilité de la main-d’œuvre : si l’on change de ville, on risque de perdre son droit aux secours, les règlements exigeant des bénéficiaires qu’ils aient résidé dans la municipalité depuis ...

Famille et identité dans le roman québécois du XXe siècle
... panacée au chômage et à la misère des villes ; sur la terre, au moins, la subsistance est assurée. ...
... Les villes leur appartiennent ; plusieurs villages de même. Alors que nous reste-t-il ? La terre4. ...
... s 93 En parallèle au courant nationaliste, le corporatisme fait fortune dans le Québec des années 1930. ...
... Les deux romans de mœurs urbaines qui font l’objet de notre analyse – l’un prend comme toile de fond Montréal, l’autre, la ville de Québec – nous aideront à mieux connaître le vécu des Canadiens français durant cette époque les changements survenus dans ...
... Stanké, Québec 10/10, 1977 Ce roman, paru en 1945, a été salué comme un événement littéraire. Il a obtenu le prix Femina en 1947. De nombreuses traductions en langues étrangères lui ont permis d’avoir une place dans la littérature mondiale. ...
... Toutes les citations du roman sont tirées de Bonheur d’occasion, Montréal, Éditions internationales Stanké, Québec 10/10, 1977. ...
... Il faut à tout prix sauver la face, d’autant plus qu’on les croit à l’aise en ville. ...
... En ville, il ne vit que de sa force physique. Déshérité et prolétaire, il est, pour ainsi dire, un individu en soi, et non pour soi. ...
... En fin de compte, l’échec d’Azarius n’est pas que personnel : c’est aussi celui des émigrants en ville, des inadaptés, des laissés-pour-compte de la crise. ...