Famille et marché

Famille et marché

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... des services aux villes et villages. ...

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... Beaucoup d’hommes évitaient les villes où les emplois étaient plus nombreux, plus diversifiés, plus stables, et relativement bien rémunérés. ...

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... Quoi qu’il en soit, les femmes ne pouvaient espérer quelque forme de stabilité socio-économique que par le mariage, qu’il ait lieu au village, dans les villes ou en Amérique. ...

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... Ils attendaient parfois le mariage de l’héritier pour partir, car, grâce à la dot du conjoint de ce dernier, ils pouvaient épouser un héritier ou une héritière, ou financer leur départ en ville ou en Amérique. ...

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... Le marché de l’emploi attirant beaucoup d’individus dans les villes et à l’étranger, les Basques renonçaient de plus en plus souvent à leur statut d’héritier. ...

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... fa m i l l e e t m a r c h é 194 d’hommes émigraient parce que le marché de l’emploi en ville et à l’étranger était porteur. ...

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... La reproduction familiale en milieu rural : France-Québec, xviiie-xxe siècles, Paris, ehess, 1992, 433 pages. ...

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... Ils ont tous leur domicile légal dans l’Est (Epinal, Lunéville, Roide, Crézeaux, Metz, Troyes, Epernay), bien évidemment celui de leur patron, mais parfois, ils demandent à passer la visite militaire dans une autre ville, sûrement la tête de leur tournée ...

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... Ils résident dans les villes moyennes du Piémont comme Bagnères-de-Bigorre, Tarbes et Pau mais aussi dans des capitales régionales comme Bordeaux et Toulouse et bien sûr à Paris. ...

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... Les dix-neuf conscrits qui se sont installés dans le Sud-Ouest, à l’exception des deux normaliens mutés dans les Pyrénées-Orientales, choisissent Toulouse et surtout Bordeaux, car cette dernière ville est le port d’où l’on embarque pour les destinations ...