... Elle relate son enfance aux États-Unis, son entrée au pensionnat de Québec, puis ses treize années de vie religieuse. 30 ...

Femmes de sciences
... La façon dont les autrices du récit Les Ursulines de Québec depuis leur établissement jusqu’à nos jours (1866) rendent hommage à l’œuvre d’éducation de leur prédécesseure en témoigne : Intimement unie à Dieu par la plus tendre piété, la Mère St. ...
... FEMMES DE SCIENCES Globe céleste de 1808, fabriqué en Écosse par James Kirkwood, un graveur et horloger dont l’atelier était sis au Parlement Square, au cœur de la ville d’Édimbourg. 32 ...
... Il est resté dans la ville écossaise jusqu’en 1811, avant de se joindre à l’armée britannique. Il a vraisemblablement acheté ces globes à l’atelier Kirkwood & Sons. ...
... Le rehaussement de l’enseignement représente, au début des années 1830, un défi pour la maison d’éducation de Québec et sa supérieure, particulièrement l’inclusion, dans le cursus, de la musique et des sciences. ...
... Après des tractations entre les autorités cléricales catholiques de Québec et de New York, la nouvelle recrue, inespérée pour la maison d’éducation des Ursulines, est reçue à Québec. ...
... Jusqu’aux années 1960, les Ursulines de Québec ont vécu cloîtrées, en retrait du monde. Elles passaient leur vie dans l’enceinte de leur monastère. Ce dernier était entouré d’une clôture. ...
... À l’instar de sa prédécesseure, sœur Saint-Augustin Dougherty, la nouvelle religieuse américaine est arrivée au pensionnat de Québec avec un bagage de savoirs hors du commun, inespéré pour une communauté éducatrice désireuse d’élargir son cursus. ...
... Elle est aidée par deux professeurs du Séminaire de Québec qui donnent les premières leçons de ces sciences au parloir, les abbés John Holmes et Edward Horan. ...
... Elle entre au pensionnat des Ursulines de Québec en 1836, sous le supériorat de sœur Saint-Henri McLoughlin. Elle fait profession en 1840 et prend le nom de sœur Sainte-Croix. ...