Filles du Roy pionnières de Montréal (Les)

Filles du Roy pionnières de Montréal (Les)

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... Comme deux piliers à rapprocher pour les redécouvrir. « Rien n’est irréversible », conclut Christian Rioux, correspondant pour Le Devoir à Paris, lors du 18e congrès de Québec-France à Québec en 2013, après la visite mémorielle des trente-six premières ...

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... Étude historique avec répertoire biographique, Québec, Société historique de Québec, 1972, xv-382 p. ; Yves Landry, Orphelines en France, pionnières au Canada : les Filles du roi au xvii e siècle, op. cit. ...

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... Le répertoire nominatif des Filles du Roy serait chose aisée à dresser si les anciennes archives portuaires de Québec avaient été conservées et si celles de l’Assistance publique de Paris n’avaient pas brûlées lors des incendies parisiens de 1871. ...

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... I, Québec, Coté, 1885, p. 639 ; Hubert Charbonneau et Yves Landry, « La politique démographique en Nouvelle-France », Annales de démographie historique, 1979, p. 428. 8.  Marcel Trudel, Histoire de la Nouvelle-France, vol.  ...

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... Les Filles du Roy appartenaient à ces pionniers de la première heure et il n’était que juste de consacrer un livre à ces femmes anonymes qui ont contribué à jeter les bases de la future métropole du Québec. ...

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... L’eau Tous les Européens appréhendent les périls de l’Atlantique, la « grande mer Océane » qui est, selon la fondatrice des Ursulines de Québec et témoin indispensable de cette époque, Marie Guyart de l’Incarnation, « la plus rude à passer de toutes les ...

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... Précisons ici qu’on pense que Mathurine Thibault serait déjà arrivée à Québec le 30 juin 1663 sur Le Phoenix de Flessingue et l’on peut supposer que les conditions de vie à bord de ce navire n’étaient pas bien différentes. ...

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... Depuis Gaspé où les navires font escale pour se ravitailler en eau et en vivres avant de s’engager dans le fleuve, il faut parcourir 700 km pour atteindre Québec, principale ville de la colonie – pour cela, il faut se frayer un chemin d’abord dans le ...

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... Depuis le Grand Banc de Terre-Neuve jusqu’à Québec, remonter le fleuve prend en moyenne dix à douze jours. Cela, seulement si l’on ne s’arrête pas à Tadoussac, comme le font la plupart des grands navires. ...

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... Tout le monde descend, passagers et marchandises, pour attendre les chaloupes qui les mèneront à Québec. Il y a certainement du soulagement à descendre à terre, d’autant que nombre de voyageurs sont malades. ...