Filles du Roy pionnières de Montréal (Les)

Filles du Roy pionnières de Montréal (Les)

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... Il ne reste pas longtemps en poste, mais on peut penser que ses encouragements à défricher de nouvelles terres influenceront l’établissement des familles hors de Ville-Marie. ...

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... Expansion de la ville à la faveur de la paix armée En 1663, c’est le moment où commence à s’installer une paix relative avec les Iroquois. ...

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... Les Montréalais se tiennent toujours à portée de fusil de la ville, leurs terres les plus avancées en amont se trouvent à quatre kilomètres et en aval à trois ; celles qui s’allongent vers le mont Royal s’adossent toutes contre la ville. ...

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... Quant à Catherine Dupuis, très vite elle quitte Montréal pour Québec d’abord, puis Sorel et, pour finir, Boucherville ; Catherine Pillat, elle, accouche là où son mari travaille la terre, c’est-à-dire qu’elle fait un va-et-vient entre Montréal, Sorel, ...

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... Celui qui frappe le plus, en effet, c’est le grand nombre d’entre elles qui viennent de villes protestantes : cinq viennent en effet de La Rochelle, Mathurine Thibault de Saumur et Marie Faucon d’Hiers-Brouage, deux villes fortement protestantes. ...

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... Cela dit, on pourrait se demander si ce fond huguenot palpite encore au cœur même de la ville éminemment sulpicienne qu’est Montréal. ...

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... Dominique, né en 1661, est-il le Dominique repéré par le Programme de recherche en démographie historique (PRDH) qui le fait parrain de Jeanne Peluchon à Sillery en 1674 et celui qui figure parmi les malades de l’Hôtel-Dieu de Québec entre 1696 et 1697 ...

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... Ainsi le recensement de 1667 indique que Charles et Catherine résident désormais à Québec (notons que Charles a gagné quatre ans de plus, et que Catherine a toujours 22 ans, Jean a trois ans et Marie Nicole 2 mois, le bébé Catherine n’est plus mentionné ...

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... De fait, on suit ses déplacements en notant le lieu de ses accouchements : sur dix grossesses, deux viennent à terme à Montréal, une à Québec, quatre à Sorel, trois à Boucherville. ...

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... Par-delà les échecs et les réussites, malgré le caractère insulaire de l’île et de son archipel, central aux échanges de toutes sortes, et peut-être à cause de cela, la ville doit son existence et son développement pérenne à ces femmes et ces hommes de ...