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Filles du Roy pionnières de Montréal (Les)
... En tout, vingt personnes ont travaillé à ce recueil, dont dix-sept à titre d’auteurs. ...
... Elles sont arrivées alors que la Société de Notre-Dame de Montréal en faillite venait de céder l’île aux nouveaux seigneurs, les Sulpiciens, que le gouvernement royal s’implantait et que, de ville mystique, Montréal devenait la plaque tournante de la traite ...
... Mais auparavant, signalons quelques traits caractéristiques du groupe qu’elles forment. ...
... Au confluent de la rivière Saguenay et du fleuve Saint-Laurent, Tadoussac, que Samuel de Champlain jugeait « désolant et glacial », n’est qu’un port d’escale et de transbordements qui devient, pendant l’été, un important comptoir de traite ; pour l’heure ...
... Du monde : quelques Français, dont sans doute le missionnaire jésuite Albanel, qui tiennent le poste et se préparent à hiverner, et quelques rares Amérindiens Innus-Montagnais, car le gros des traiteurs de fourrure est déjà reparti. ...
... Les Le Moyne et Le Ber deviennent rapidement les maîtres du commerce des fourrures, recevant les Amérindiens chez eux comme le font, malgré les interdictions, les autres habitants de Montréal qui se mêlent de la traite. ...
... Un mot sur le chêne, ce « bois noble », c’est-à-dire réservé aux nobles en raison de sa qualité supérieure : il faut savoir que son écorce – le tan – contient des produits tannants utilisés pour traiter le cuir. ...
... La traite des fourrures 41. ...
... Ces incursions terrifient tous les Montréalais et, parmi les victimes, on compte au moins sept Filles du Roy. En 1663 et après, c’est sans doute l’intendant qui aura une influence directe sur la vie des Filles du Roy de Montréal. ...