... L’hiver - fut particulièrement clément : seuls sept colons moururent du scorbut. Champlain vécut cette saison en terminant sa carte de l’Acadie et en participant à son ordre de Bon-Temps, créé avec l’aide de Lescarbot. ...
Fondations de l'Acadie et de Québec (Les)
... Or, la traite des fourrures ne pouvait être aussi fructueuse en Acadie qu’au Canada, puisque Tadoussac était déjà connu pour être l’aboutissement de grandes routes de troc. ...
... Après cela, Pont-Gravé rentra en France et laissa Champlain et vingt-sept hommes hiverner à Québec. L’hiver - se révéla désastreux. ...
... ’ laissés là pour passer l’hiver avaient pâti du scorbut, ils leur étaient même venus en aide, mais les survivants étaient rentrés en France après la saison de traite de sans rien entreprendre. ...
... Des Hurons n’arrivèrent qu’une fois les Français, les Algonquins et les Montagnais installés sur l’île Saint-Ignace pour festoyer et traiter. ...
... Toutefois, la traite ayant été très décevante, Champlain dut rentrer en France pour s’assurer du soutien de Caulier et de Legendre. Il quitta Tadoussac le août et arriva à La Rochelle le septembre. ...
... Le septembre, le comte de Soissons devint titulaire pour douze ans du monopole de la traite dans le Saint-Laurent. ...
... Les Voyages de : un ouvrage de propagande On peut penser que Champlain a rédigé ses Voyages pour appuyer ses démarches : il écrira en qu’il a présenté des « mémoires » au président Jeannin sur la nécessité de rétablir le monopole de la traite ...
... ’ montrant l’ampleur du travail d’exploration réalisé en Acadie et au Canada, Champlain voulait les convaincre de la nécessité du monopole de la traite des fourrures pour permettre une réelle prise de possession ...
... Il raconte, dans ses Voyages de , la mésaventure qui est survenue au prêtre Nicolas Aubry en juin et juillet : parti avec quelques compagnons dans des bois au bord de la baie Sainte-Marie, celui-ci s’égara et erra pendant dix-sept jours avant ...