Forêt et société en Mauricie [NE]

Forêt et société en Mauricie [NE]

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... Sur le mesurage, voir « Premier rapport du service forestier », dans Québec, DS, 5, vol. 43, 1910 ; Enquête du MTF, dans Québec, DS, 90, 1934. ...

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... Normand Séguin, «  L’agriculture de la Mauricie et du Québec, 1850-1950  », RHAF, 1982, vol. 35, no 4, p. 541-543. ...

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... Une nouvelle ville avait surgi. Elle n’était que l’extension du réseau urbain de la basse Mauricie, qu’un maillon de sa nouvelle structure industrielle. ...

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... Dans l’ensemble du Québec, le prix des terres aliénées par l’État fluctua entre 20¢ et 80¢ l’acre de 1850 à 1917, selon les régions et les périodes. ...

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... En revanche, au XXe siècle, ils augmentèrent leur production de blé, une culture devenue tout à fait marginale au Québec et que Champlain abandonna graduellement. ...

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... Avant même l’arrivée des chemins de fer, la Mauricie était, semble-t-il, en mesure de fournir à la ville de Montréal une certaine quantité de ce combustible solide. Dans sa monographie consacrée à Sainte-Geneviève-de-Batiscan, E.-Z. ...

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... Deuxième rapport de la Commission des produits forestiers de la province de Québec, 1933, DS, 26, 1934, 16. ...

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... Les hauts fourneaux du Québec au xixe siècle, Les Presses de l’Université Laval, 1995, 303 p. ...

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... Ces beaux établissements sont situés en la paroisse de St-Luc47. » Dans Mauricie d’autrefois, Thomas Boucher signalait l’existence en Mauricie d’un commerce d’écorce de pruche approvisionnant les marchés de Québec et de Montréal. ...

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... Würtele, ANQ, Québec, P456, D6, P83. Très différentes étaient les grosses installations capitalistes qui accaparaient l’essentiel de la production du sciage et retenaient la très grande majorité de l’effectif. ...