Forêt et société en Mauricie [NE]

Forêt et société en Mauricie [NE]

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... par la ville. ...

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... La ville a connu ainsi deux modes d’articulation à l’économie du bois. ...

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... En un demi-siècle, la population de la ville plus que doubla. C’est le rôle de l’économie du bois dans cette croissance que nous appréhenderons ici. ...

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... En cela, elle n’était pas à l’écart tout à fait des lignes de force qui orientaient la croissance des grands centres urbains du Québec d’alors, Québec et Montréal, et surtout le second bien entendu. ...

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... Gamelin, L’industrialisation de la Mauricie, dossier statistique et chronologique 1870-1975, Groupe de recherche sur la Mauricie, cahier no 6, Université du Québec à Trois-Rivières, 1981, p. 34, 123-125. ...

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... Lors du recensement de 18715, la ville ne comptait plus que ces deux scieries. L’entreprise de la famille Baptist y employait 150 travailleurs. ...

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... D’autres scieries s’implantèrent dans la ville au cours des trois dernières décennies du siècle : celle que fit ériger dès 1871 James Dean, le gendre de George Baptist, et qui fonctionnait encore en 18846, celle de Joseph-A. ...

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... En plus du sciage, la ville hébergea durant la seconde moitié du XIXe siècle plusieurs petites entreprises reliées au bois. ...

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... Mais, à la ville comme à la campagne, c’était la même dualité. Plus ou moins absents du grand commerce, les francophones contrôlaient des activités à base régionale encore faiblement ouvertes sur l’extérieur. ...

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... monde urbain e t f orê t  f  287 ville et la forêt finissaient par toucher le petit monde urbain tout entier. ...