Français au Québec, 1765-1865 (Les)

Français au Québec, 1765-1865 (Les)

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... Par ailleurs pour la période qui a suivi la signature du Traité de Paris en 1763, jusqu’à l’aube de la Confédération canadienne en 1867, on ne peut guère que spéculer sur l’importance numérique de cette immigration qui s’est poursuivie sur plus d’un siècle ...

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... Cinq cent sept civils les accompagnent: des femmes, des enfants et un certain nombre de serviteurs. ...

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... Des milliers de soldats français et canadiens, ayant servi au cours de la guerre de Sept Ans, regagnent la France en septembre 1760. ...

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... Du côté des Américains, des soldats français des armées de Lafayette et de Rochambeau immigrent au Canada après le Traité de Versailles en 1783. ...

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... De plus, ces militaires ne peuvent être les mêmes qui ont servi lors de la guerre de Sept Ans, la plupart d’entre eux étant nés après 1745. ...

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... La population, incitée par le clergé catholique favorable aux institutions britanniques, se dissocie des révolutionnaires que l’on n’hésite plus à traiter de meurtriers. ...

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... Le Traité de Gand, signé le 24 décembre 1814 entre l’Angleterre et les ÉtatsUnis, met fin au conflit en Amérique. Le régiment de Meuron, comme celui de Watteville, est licencié le 16 juillet 1816. ...

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... La signature du Traité de Paris le 20 novembre 1815 et le retour à la paix engendrent des situations de crise en Europe. ...

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... Enfin, sept sulpiciens arrivent au Bas-Canada entre 1823 et 1828 dont JosephAlexandre Baille, né à Viviers en Ardèche qui deviendra supérieur général de la Compagnie de Saint-Sulpice au Canada en 1866. ...

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... Charles-Benjamin Regnaud, originaire de la Chapelle-d’Huin dans le Doubs, arrive au Canada en 1862 avec sa femme et ses sept enfants. Il s’établit comme agriculteur à Saint-Valérien dans le canton de Shefford. ...