Franco-Américains de la Nouvelle-Angleterre (Les)

Franco-Américains de la Nouvelle-Angleterre (Les)

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... Le 9 décembre 1956, le père Henri Bolduc réunit au presbytère de Saint-Jean-Baptiste de Lowell, les curés des cinq autres paroisses francoaméricaines de la ville et les supérieures des communautés enseignantes. Deux questions sont à l’ordre du jour. ...

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... Comme en 1937, après le congrès de Québec, les premiers vont reprendre le combat contre tout ce qui peut affaiblir davantage les institutions franco-américaines ; les seconds vont multiplier les initiatives pour ranimer la flamme française là où elle ...

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... En effet, seulement 130 étudiants franco-américains fréquentent les collèges du Québec durant ...

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... les aînés passent la main 439 jeunes à répondre à l’appel, on demande au gouvernement de Maurice Duplessis d’instaurer « une sorte de bourses Fulbright franco-américanocanadiennes » et aux collèges du Québec de se montrer généreux. « Si chaque pensionnat ...

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... Après le congrès de Québec (1937), radicaux et modérés avaient cessé pour un temps de s’entre-déchirer. ...

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... Pour comprendre le pourquoi de cet espoir, il faut regarder du côté de Québec et de Washington. ...

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... On attend aussi beaucoup du projet de création d’une Maison du Québec en Nouvelle-Angleterre. En attendant, les divers groupes préparent leurs demandes. ...

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... Des militants modérés s’inquiètent de voir certains Québécois « ramener les limites de la nation canadienne-française à celles de la province de Québec »101 ; ils craignent que l’indépendance du Québec n’amène l’abandon des minorités françaises hors Québec ...

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... le Québec. ...

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... Le Québec sera le principal gagnant d’une telle politique. ...