... (Valentine, 2001) La communauté dont il est ici question est la communauté locale, village ou ville, ou encore le quartier, des éléments dans lesquels je me reconnais mieux, et qui me permettent de m’approprier à mon tour ce concept central des études ...
![Franco-Amérique [NE]](/system/books/images/000/000/815/small/L97828944889421.jpg?1750193909)
Franco-Amérique [NE]
... Si les trois principales villes de l’Ontario français ont retenu notre attention, les autres milieux géographiques sont représentés, depuis le village jusqu’à la petite et la grande ville. ...
... Aujourd’hui, on compte des dizaines de milliers de francophones à Toronto, venus des différentes régions de l’Ontario, du Québec et des autres provinces canadiennes. ...
... On ne retrouve aucune concentration importante de francophones, ceux-ci étant fortement dispersés dans la ville. ...
... Le chemin de fer, le bois, le cuivre et le nickel attirent bon nombre de travailleurs canadiens-français, majoritairement en provenance du Québec. ...
... Alors qu’historiquement les Canadiens français de Sudbury provenaient en grand nombre du Québec, la dernière génération francophone de la ville est de souche ontarienne. ...
... À cette époque, les Canadiens français s’établissent à la basse-ville, ou les terrains sont meilleur marché qu’à la haute-ville. ...
... de la ville y est pour beaucoup. La ville compte en effet de nombreux fonctionnaires, traducteurs, bibliothécaires, journalistes, sans parler des hommes politiques. Cet avantage se maintient aujourd’hui. ...
... Fortement concentrée sur le territoire, non seulement dans certains quartiers centraux (basse-ville et ancienne ville de Vanier qui compte encore une majorité de francophones), mais aussi dans les banlieues (anciennes villes de Gloucester et de Cumberland ...
... Les proportions linguistiques des enseignes témoignent du caractère bilingue de cette ville dont le tiers des habitants sont francophones. © A. Gilbert. Du village à la métropole : les communautés franco-ontariennes 77 ...