Géopolitique d'une ambition inuite

Géopolitique d'une ambition inuite

Page 221

... David Cliche rappela enfin que le Nunavik était aussi le Québec et qu’en vertu du droit international « aucun obstacle ne pourrait empêcher le Québec d’assumer sa souveraineté sur l’ensemble de son territoire national » (Kangiqsujuaq, 1995). ...

Page 223

... Ce qui finalement avait émergé du sommet de mars 1995, c’était l’impossibilité pour les Inuits québécois de prendre le risque au cœur d’un Québec souverain de dissocier leur projet régional d’une dynamique polaire autant supra-régionale qu’interrégionale ...

Page 224

... 224 géopolitique d’une ambition inuite nordiques du Québec et continuerait à faire valoir dans l’avenir les relations privilégiées que le gouvernement central a toujours préservées avec le peuple inuit. ...

Page 225

... Notre avenir commun est entre les mains de tous ceux pour qui le Québec est une patrie. ...

Page 226

... Québec et de l’entente signée le 12 juin 1995 ? ...

Page 227

... pairs, le territoire du Québec souverain sera celui que nous connaissons actuellement comme étant celui de la province du Québec […]. ...

Page 228

... carte 14 Les territoires autochtones du Québec soumis au risque de partition : une évaluation post-référendaire NUNAVIK Territoire Cris ...

Page 229

... final du référendum : seulement 50 000 votes en faveur du non ont empêché le Québec de devenir une nation souveraine. ...

Page 230

... Finalement, le débat sécessionnisme québécois contre partitionismes régionaux, amorcé par les leaders autochtones du Québec, était devenu le point d’accrétion d’un enjeu national qui confirmait la complexité de la géographie politique québécoise. ...

Page 231

... chapitre 7 : les premières stratégies convergentes… 231 officielle de la divisibilité du Québec. ...