Guerre civile en Acadie au XVIIe siècle (La)

Guerre civile en Acadie au XVIIe siècle (La)

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... Plus tôt au cours de l’année, il surprend une vieille connaissance, Bernard Marot, qui traite illégalement avec les Autochtones et qui est blessé lors de l’altercation. ...

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... Il n’a aucun lien d’affaire avec la Compagnie de la Nouvelle-France, dont les dirigeants ne l’ont pas autorisé à traiter des questions acadiennes ». ...

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... Pour le dédommager, on lui accorde la moitié de la traite des pelleteries depuis Canso jusqu’à la « Flandre » (New Holland), « qu’il fait conjointement avec le Commandeur ou les siens […]. ...

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... La vie d’actrice expliquerait son sens des affaires (les ­compagnies théâtrales de l’époque fonctionnent en co-entreprises), son assurance de soi et sa facilité à traiter avec les gens. ...

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... C’est avant tout un traiteur de fourrure, et même s’il requiert des spécialistes pour ses entreprises, un grand établissement est une dépense inutile. ...

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... L’administration leur intime de traiter seulement avec elle, de lui fournir les matières brutes nécessaires et d’acheter ses produits manufacturés. La règlementation vise aussi le commerce entre nations. ...

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... Ceux-ci ont aménagé un réseau de petits postes avancés de traite jusqu’au Maine dans le nord. L’afflux d’Anglais se poursuit. ...

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... Dans les années suivantes, lui et La Tour se partagent amicalement la traite de la fourrure. Pendant ce temps, le commandeur aménage une 1.  Candide de Nant, Pages glorieuses de l’épopée canadienne (Montréal, 1927), 91. ...

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... Au cours des années suivantes, les ressortissants de chaque pays vérifient l’emprise de l’autre sur les postes de traite et les établissements. ...

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... Le traité Saint-Germain le redonne à la France, mais une garnison anglaise dirigée par Thomas Willet le détient toujours. Le commandeur Razilly envoie d’Aulnay reprendre le poste. ...