Guerre civile en Acadie au XVIIe siècle (La)

Guerre civile en Acadie au XVIIe siècle (La)

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... D’ordinaire les provisions hebdomadaires individuelles représentent deux pains de sept livres, deux livres de lard, deux onces de beurres, une fiole d’huile et une de vinaigre, une livre de foie de morue séchée, un sixième d’un boisseau de pois et une ...

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... Alors qu’il accuse La Tour de traiter avec « les étrangers religionnaires », d’Aulnay lui-même non seulement commerce avec les mêmes étrangers, mais emploie au moins un autre vaisseau anglais et son commandant. ...

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... Il envoie une chaloupe avec sept marins qui réussissent à atteindre le fort. Ils passent probablement dans les terres. ...

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... Toujours à son avantage quand il peut traiter face à face, La Tour déploie les pouvoirs de persuasion pour lesquels sa famille est réputée. Il explique à Winthrop son conflit avec d’Aulnay. ...

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... Leur très grand nombre l’impressionne lorsqu’il réalise que cette seule ville contient plus de gens (environ sept fois plus) que l’ensemble des établissements éparpillés en Nouvelle-France1. ...

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... De Salem à Piscataqua fusent des avertissements : la Nouvelle-Angleterre ne doit pas traiter avec « ces idolâtres français » et d’Aulnay va devenir un fléau, car « à titre de soldat et de gentilhomme [il] va chercher à se venger ». ...

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... Pendant son séjour de six ou sept heures, il entend les gens de d’Aulnay qui s’acharnent frénétiquement à consolider les remparts et les palissades. « Les moines se démènent comme les autres. Ils encouragent les femmes qui pleurent pitoyablement. ...

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... Pour sa part, d’Aulnay reçoit l’ordre de bien traiter les hommes de La Tour qui le rejoignent. Il doit aussi les nourrir et leur fournir toutes les provisions nécessaires. ...

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... 162 LA GUERRE CIVILE EN ACADIE AU XVII e SIÈCLE « Je suis allé au Canada sept fois et… j’ose dire que le meilleur de ces voyages m’a donné plus de cheveux blancs que tous ceux que j’ai faits ailleurs. ...

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... Cela contrarie d’Aulnay de les voir traiter avec son rival et il les emprisonne immédiatement. Après plusieurs jours, il les libère par égard à monsieur Shurt qu’il estime (et à qui il doit de l’argent). ...