... Le quatrième jour, après de longues négociations sur une variété d’enjeux, ils signent un traité provisoire, sujet à ratification par les deux parties. ...

Guerre civile en Acadie au XVIIe siècle (La)
... de menaces et d’appels à la conscience et à la probité, on n’est guère surpris si les autorités de Boston succombent devant la dialectique de d’Aulnay (avec l’appui solide et les efforts personnels de son émissaire capucin) et acceptent de signer un traité ...
... Car j’ay basty deux Forts et luy m’en a bruslé un et il n’en a basty aucun n’y défriché que sept ou huit Arpents de terre. ...
... Françoise promet qu’elle ou son mari verseront « sept cents livres sterling » pour l’affrètement des bateaux. ...
... CHAPITRE 13 • La victoire de d’Aulnay 185 Apparemment, c’est Edward Gibbons de Boston qui garantit le paiement de l’affrètement des bateaux, car les La Tour s’engagent conjointement à « donner satisfaction au major Gibbons pour la somme de sept cents ...
... Les années de blocus intermittents ruinent le gagne-pain de La Tour, soit la traite de pelleterie. Il n’a même pas assez d’argent pour payer les salaires de ses engagés. ...
... Il apprend que La Tour est à Boston dans l’intention de faire renverser le traité de paix et de dénicher un marchand pour approvisionner son fort où il ne reste maintenant que quarante-cinq personnes. ...
... Dans le calendrier anglais ancien style, l’année commence en mars et septembre, octobre, novembre et décembre étaient les septième, huitième, neuvième et dixième mois, comme leur nom l’indique. ...
... Les rares journées ensoleillées révèlent sans pitié les visages pâles aux traits tirés et aux yeux cernés par l’épuisement, la fumée de l’âtre et la poussière. ...
... comment vous qualifier ce genre d’agissement, pour ma part, je préfère périr au lieu de promettre ce que je ne peux accomplir. » Puis, il rejette avec mépris l’excuse que les coupables sont des commerçants de Londres et qu’ils ne peuvent les empêcher de traiter ...