... La présence attestée à Québec de 5 puis de 7 autres mentionnés dans les registres de la paroisse de Québec paraît très probable, mais on ignore la date exacte de décès. Enfin, le sort d’une douzaine d’autres pères de famille demeure inconnu. ...

Guerre des Canadiens. 1756-1763 (La)
... chapitre 7 • Le deuxième drame acadien Un refuge transitoire La ville et les environs de Québec ont constitué le principal et premier lieu de refuge de la majorité de ces familles acadiennes. ...
... Une analyse plus poussée s’est imposée dans les registres de la paroisse de Notre-Dame de Québec. ...
... La recherche d’informations complémentaires a dès lors été orientée vers la liste des sépultures enregistrées dans la paroisse de Notre-Dame de Québec de janvier 1757 à juin 1760. ...
... La grande faucheuse La majorité des familles affectées par cette mortalité excessive provenaient de la population acadienne réfugiée à Québec. ...
... Voir Pierre-Maurice Hébert, Les Acadiens du Québec, Montréal, Éditions de l’Écho, 1994. ...
... L’un et l’autre décèdent à 12 jours d’intervalle, ainsi que 6 de leurs 8 enfants qui meurent à Québec entre septembre 1756 et janvier 1758. • La jeune Marguerite Levron (10 ans) perd, en ce fatidique mois de décembre 1757, son père, sa mère, son frère ...
... Il faut recourir aux écrits de l’annaliste de l’Hôtel-Dieu de Québec qui évoque l’attitude des soldats et des marins hospitalisés pour entrevoir ce que les familles acadiennes ont pu vivre dans l’intimité du foyer qu’ils occupaient. ...
... Hébert dans Le Québec des Acadiens, dès le printemps 1758, quelques dizaines de ces familles se déplacent vers Lotbinière, Bécancour et Saint-Pierre-les-Becquets. ...
... la guerre des canadiens • 1756-1763 Québec. Les registres de baptêmes, de mariages et de sépultures permettent d’attester leur présence en Acadie jusqu’en mars 1755 et à Québec dès 1756. Le drame se produit peu de temps après cette migration. ...