... Maguire, Sillery (Québec) G1T 1Z3 ou par télécopieur (418) 527-4978 © Les éditions du Septentrion 1300, av. Maguire Sillery (Québec) G1T 1Z3 Diffusion Dimedia 539, boul. ...

Histoire d'un mot
... Une idée aujourd’hui fait le même voyage, pour trouver au Québec une plus heureuse fortune. ...
... En 1749, les séminaristes de Québec se plaignent des « prêtres étrangers » qu’ils doivent subir ; la même année l’hospitalière Duplessis de Sainte-Hélène dit de sa sœur, née à Québec, comme pour l’excuser, qu’elle est canadienne de nation mais toute française ...
... bien que tout nom de famille, et Canadien tout autant que Jivaro ou Africain) ; 4) mais, plus précisément, les mots « ethnonymes » ou encore « gentilés » désignent l’habitant d’un lieu, d’une ville, d’un pays, etc. ...
... RAPQ Rapport de l’archiviste de la province de Québec. RAQ Recherches amérindiennes au Québec. RHAF Revue d’histoire de l’Amérique française. XVII ...
... Le leader du Parti libéral du Québec, Daniel Johnson, a déclaré pendant la campagne électorale québécoise de 1994 : « Si je peux concevoir, comme plusieurs, être Québécois sans être Canadien, je ne peux concevoir être Canadien sans être Québécois » (Le ...
... donné ne plus avoir suffi pour affirmer sa différence : l’habitant du Québec, à partir de la Révolution tranquille, a abandonné « son » nom pour se rebaptiser Québécois. Être dépossédé peu à peu de son nom dérange, déstabilise. ...
... Il résume, en une page, l’évolution de l’ethnonyme depuis la naissance en 1621 de ce qu’il appelle « l’esprit canadien », quand les quelques Français présents à Québec s’étaient rassemblés pour écrire une requête au roi, jusqu’à la dernière extension ...
... Elle tombe parfois dans la confusion : ainsi Stadaconé, principale bourgade iroquoienne de ce qui est aujourd’hui la région de Québec, devient, pour elle, une bourgade entre Québec et Montréal ; ou encore devant ce qui reste un mystère pour les historiens ...
... ni au mémoire de Colette Gosselin (supra, 5) qui ne fait ressortir que les occurrences les plus connues du mot Canadien dans les travaux d’historiens, ni aux fichiers encore trop incomplets d’un organisme comme le « Trésor de la langue française au Québec ...