... C’est toutefois le Vermont et le Maine qui reçoivent la majorité des migrants du Québec. En effet, en 1840, 60 % des Canadiens français installés en NouvelleAngleterre vivent au Vermont et 30 % au Maine. ...

Histoire d’un rêve brisé?
... Pour les ouvriers agricoles de la région, les immigrants irlandais et les Canadiens français du Québec, c’est une situation inespérée. Quant au secteur agricole, il entre dans une période de crise. ...
... ., La population du Québec, études rétrospectives, Montréal, Éditions du Boréal Express, 1973 : 78. ...
... partir pour les « états » 19 Angleterre, un grand nombre délaissent la campagne pour la ville. La population urbaine, qui n’est que de 16,6 % en 1861, grimpe à 39,67 % en 1901. ...
... La ville et l’émigration Un certain nombre de ruraux optent pour les villes du Québec. Beaucoup plus le feraient si la chose était possible. ...
... Parce que les salaires y sont plus élevés qu’au Québec, plusieurs décident alors de s’exiler temporairement en Nouvelle-Angleterre dans l’espoir d’accumuler rapidement l’argent pour payer leurs dettes et recommencer à neuf. ...
... Les agents recruteurs qu’ils dépêchent dans les villes et les campagnes du Québec et qui font miroiter les avantages du travail dans les manufactures invitent les gens à émigrer en famille, les assurant que les enfants en âge de travailler trouveront ...
... Tableau 7 Population canadienne-française de quelques villes de la Nouvelle-Angleterre en 1860, 1880 et 1900 Villes 1860 1880 1900 0 4 714 13 300 Biddeford-Saco 667 4 301 10 650 Waterville 470 1 548 4 300 Old Town 323 852 3 000 Manchester ...
... partir pour les « états » Villes 25 1860 1880 1900 Holyoke 165 6 000 15 500 Worcester 386 3 500 15 300 New Bedford 0 1 007 15 000 Lawrence 84 2 500 11 500 Fitchburg 48 500 7 200 1 2 000 6 900 Springfield 68 2 446 6 500 ...
... Au point que les autorités du Québec croient chaque fois que c’en est fini de la saignée démographique. Illusion ! ...