Histoire d’un rêve brisé?

Histoire d’un rêve brisé?

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... Ils forment des noyaux compacts dans les villes industrielles de la Nouvelle-Angleterre. ...

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... Après les années fastes de la guerre et de l’immédiat après-guerre, le déclin accéléré de l’industrie textile en Nouvelle-Angleterre, située au cœur des villes, produit les mêmes effets. ...

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... Ceux qui ne veulent plus vivre méritent de mourir5. » Ces élites recrutent leurs partisans surtout au sein de la génération de Franco-Américains nés au Québec et qui comptent encore pour 28,7 % de la population en 1940. ...

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... En 1952, le père Landry va tenter de remettre les pendules à l’heure au Troisième Congrès de la langue française à Québec. Le titre de sa conférence donne le ton. « Y aura-t-il demain une vie franco-américaine en Nouvelle-Angleterre ? » « Hélas ! ...

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... En 1957, Landry est rappelé à Québec par ses supérieurs. Comme membre et plus tard comme président du Conseil de la vie française en Amérique, il observe les événements d’outre-frontière avec attention. Ce qui s’y passe ne le surprend guère. ...

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... ., L’inscription sociale de l’intellectuel, Québec, PUL, 2000, p. 303-317. 1. Cité dans La Vie franco-américaine, 1945, p. XIV. 2. ...

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... C ’est comme Canadiens français des États-Unis que se définissent les émigrés francophones du Québec de la première génération. ...

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... On les trouve dans les villes moyennes de 25 000 à 100 000 habitants. ...

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... Pour un peu, certains observateurs se seraient crus dans un Québec agrandi. À l’église, dans la presse, dans la vie des sociétés mutuelles et dans les loisirs, le français est la langue unique et la langue prédominante à l’école. ...

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... Ils s’abonnent aux journaux du Québec en circulation aux États-Unis ou exigent de leurs propres journaux qu’ils les informent sur ce qui se passe au Québec autant, sinon plus, qu’aux États-Unis. ...