Histoire de l'Acadie [2e édition]

Histoire de l'Acadie [2e édition]

Page 342

... La ville offre plutôt aux chômeurs du travail tel l’enlèvement de la neige à 20 sous l’heure à raison de 10 heures par jour. En adoptant cette mesure, la ville pense économiser près de 10 000 $ pour l’année129. ...

Page 343

... Le père de Rosalbas Doucet, née à Bas-Caraquet en 1928, exerce alors le métier de pêcheur, mais durant l’hiver, il part travailler dans les chantiers forestiers du Québec. ...

Page 347

... La scène provinciale du Nouveau-Brunswick et du Québec est également marquée par des réformes sociales profondes et par l’affirmation nationaliste. ...

Page 360

... Le siège social s’installe à Moncton, confirmant en quelque sorte le statut de cette ville comme lieu de prédilection pour bon nombre d’organismes acadiens. ...

Page 363

... En 1989, le Québec signe le même type d’entente avec l’Île-du-Prince-Édouard. De 1969 à 1994, plus de 2  700 étudiants du Nouveau-Brunswick font des études postsecondaires au Québec. ...

Page 364

... 364  k  histoire de l’acadie «  compétence du bureau du Québec à Moncton  s’étend jusqu’à » Terre-Neuve37. ...

Page 366

... Le Nouveau-Brunswick a par ailleurs des ententes particulières avec le Québec et la France concernant la coopération culturelle42. ...

Page 367

... Patrice Dallaire, Regards sur l’Acadie et ses rapports avec le Québec, Moncton, Éditions d’Acadie, 1999, p. 24-25. ...

Page 368

... Bien que le personnel francophone du ministère commence alors à augmenter, les minorités francophones des villes néobrunswickoises­doivent continuer à livrer de longues luttes pour obtenir des écoles exclusivement francophones durant les années 1970 : ...

Page 370

... Sur la crise scolaire acadienne de Chéticamp en 1996-1998, voir Patrice Dallaire, Regards sur l’Acadie et ses rapports avec le Québec, op. cit., p. 88. 56. ...