Histoire de la médecine au Québec 1800-2000

Histoire de la médecine au Québec 1800-2000

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... souligne : « Aux États-Unis ou en Europe, les médecins ont l’avantage d’avoir dans tous les hôpitaux des organisations qui leur permettent d’entendre des cliniques, de voir et d’examiner des malades, d’assister aux opérations, de voir appliquer des traitements ...

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... Cependant, en 1941, on se montre plus ouvert et, lorsque la direction de la Faculté de médecine de l’Université de Montréal discute «  des applications d’Anglais ou de Juifs », elle suggère « de les traiter de la même façon que les élèves canadiens et ...

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... avons mentionné dans un chapitre précédent, la formation de l’étudiant ne se limite plus seulement aux aspects cognitifs (connaissances fondamentales et cliniques) et aux aspects psychomoteurs (observation médicale, discussion du diagnostic, plan de traitement ...

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... Sept ans plus tard, un membre votant sera désigné par l’Association des facultés de médecine du Canada64. ...

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... Y furent traités près de 20  000  blessés. ...

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... Quelques films muets sont aussi projetés pour sensibiliser la population aux maladies vénériennes : Diagnostic et traitement de la syphilis, Blenorrhagie chez l’homme, Hygiène sociale de la femme. ...

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... D’autant que plusieurs patients ne peuvent payer les traitements dans les cliniques privées. ...

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... Autre changement, les cas de syphilis constituent une part de plus en plus grande des malades traités dans ces cliniques. ...

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... Devant l’ampleur du problème, le gouvernement québécois adopte finalement, en 1941, une loi qui rend obligatoires la déclaration et le traitement des maladies vénériennes. ...

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... la pénicilline constitue une véritable révolution dans la prise en charge des maladies vénériennes et permet de mettre fin peu à peu aux traitements de longue durée. ...