... Lucia Ferretti, « Charles-Édouard Bourgeois, prêtre trifluvien et les origines diocésaines de l’État providence au Québec (1930-1960) », Nouvelles Pratiques sociales, 14,1, juin 2001, 169-182. ...

Histoire des Dominicaines de Trois-Rivières
... Évidemment, on ne peut écarter les considérations électorales dans la décision du gouvernement Taschereau de faire entrer le Québec dans le régime fédéral des pensions de vieillesse. ...
... À la demande du prêtre, la Ville de Trois-Rivières cède alors aux sœurs l’usine de vins désaffectée Jacques-Cartier sur la rue des Forges. ...
... D’autres fuguent, recherchés en ville et vite rattrapés par l’abbé Bourgeois, ce qui leur vaut la semonce, la punition, le renvoi ou, au 35. ...
... La force de l’âge y 107 du gouvernement du Québec et les dons de certaines entreprises privées de la ville telles que le Three Rivers Grain Elevator font pousser une puis deux serres, un poulailler et une colonie éleveuse de trois à quatre mille poussins ...
... Tous les orphelinats des dominicaines seront dotés d’une colonie de vacances au cours des années 1930, afin de sortir les enfants de la ville durant la belle saison. ...
... Au Québec aussi, les psychologues et les travailleurs sociaux diplômés tiennent les orphelinats en piètre estime. ...
... Signe tangible du changement, les maisons pour enfants tenues par des dominicaines deviennent l’une après l’autre Ville-Joie Saint-Dominique, Ville-Joie du Rosaire et, à Hull, Ville-Joie Sainte-Thérèse. L’organisation matérielle. ...
... Ainsi, les garçons de Ville-Joie Saint-Dominique sont regroupés par soixante, la moitié moins qu’auparavant ; les plus jeunes, à Ville-Joie du Rosaire, par vingtquatre. ...
... Sur Ville-Joie du Rosaire : « La grande pitié de notre province : l’enfance illégitime ou orpheline », Le Nouvelliste, 24 janvier 1954 ; cahier 309, « À Ville-Joie du Rosaire, on recrée pour les tout-petits l’illusion du foyer perdu », ibid., [s.d. ; ...