Histoire des Dominicaines de Trois-Rivières

Histoire des Dominicaines de Trois-Rivières

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... Entrevue de Jules Perron, du Centre de service social du diocèse de Trois-Rivières, dans « À Ville-Joie du Rosaire, on recrée pour les tout-petits l’illusion du foyer perdu », Le Nouvelliste, septembre 1959. ...

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... des petites filles d’âge scolaire à mesure que ferme Ville-Joie Providence ; ainsi que l’ouverture de deux classes spéciales supplémentaires à Ville-Joie Saint-Dominique, en 1959 : toutes ces initiatives visent d’une part à « combler les vides des sections ...

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... Délibérations du conseil général, 13 juin 1955, 7 août 1956, 23 avril 1959 ; Procèsverbaux des réunions du Conseil conventuel de Ville-Joie du Rosaire, 23 juillet et 3 septembre 1958, 27 et 31 août 1959, 17 janvier 1960 ; Compte rendu de mère Thérèse-Dominique ...

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... Après tout, les sœurs de Québec et celles de Trois-Rivières ne se connaissent pas ; et, hormis le service domestique dans des maisons religieuses, les deux instituts sont engagés dans des œuvres assez différentes, là surtout des hôpitaux, ici surtout ...

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... La maison généralice a été fixée à Québec, le noviciat commun, à Trois-Rivières. ...

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... Durant les quelques semaines qui séparent le 28 février du 2 avril, jour du déménagement à Québec des conseillères générales tirées de la congrégation trifluvienne, la prieure générale de la nouvelle Union canadienne de Saint-Dominique mobilise toute ...

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... Dans la corbeille de l’union, les sœurs de Québec ont déposé une douzaine d’œuvres. ...

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... Les nouvelles lettres patentes sollicitées pour les trois Ville-Joie sont émises par le gouvernement en mai 1965. ...

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... Sur la fermeture de Ville-Joie du Rosaire : Détails sur la vente de Ville-Joie du Rosaire à la Province de Québec, préparée par Bernard Massé, c.g.a., 1966 ; Délibérations du conseil général, 28 avril 1966 et 29 janvier 1970. ...

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... C’est Québec, et non plus les sœurs, qui nomme maintenant les membres des conseils d’administration ; en ne réservant qu’une minorité des sièges, donc un pouvoir très restreint, à la corporation religieuse lorsqu’elle est encore propriétaire des terrains ...