Histoire des Dominicaines de Trois-Rivières

Histoire des Dominicaines de Trois-Rivières

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... De retour au foyer vers l’âge de dix-sept ans, elle aide son père à la charrue : quand le soc frappe une pierre, elle fait une oraison jaculatoire. ...

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... Sept fois par jour les dominicaines reviennent à la chapelle. ...

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... Dans sept autres cas au moins mais sans doute davantage, c’est encore leur curé, cette fois un séculier, qui les a orientées vers la communauté, ou alors l’abbé Panneton. ...

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... À la fin de cette période, elle aura acquis l’essentiel des traits qui la caractériseront jusqu’aux grands bouleversements des années 1960. ...

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... Après seulement trois jours, l’orphelinat accueille déjà dix-sept garçons de quatre à douze ans. Trois semaines plus tard, vingt-sept5. ...

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... En retour, les dominicaines travaillent à se conserver la sympathie des autorités civiles : bien souvent, le traiteur du maire lors des grandes réceptions municipales, c’est elles13 ! ...

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... Mais, en fait, il s’agit surtout d’une garderie, car la plupart des enfants n’ont pas sept ans. Et d’un orphelinat. ...

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... Même si le gros des troupes est toujours formé d’enfants de quatre à sept ans, et même si des orphelins continuent d’être gardés 33. Délibérations du conseil conventuel, 14 décembre 1924. Dominicaines.set-up.02 57 9/17/02, 10:59 AM ...

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... Entre 1920 et 1932, sous mère Colombe de Rieti (Marie Trottier), les conseillères générales avaient tenu séance pendant en moyenne vingt-sept jours chaque année, ou deux par mois environ. ...

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... Outre ce qui regarde le développement interne de la congrégation, le conseil général traite de tout ce qui concerne les œuvres. ...