Histoire des mineurs du Nord ontarien et québécois (L')

Histoire des mineurs du Nord ontarien et québécois (L')

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... Autrement dit, une portion substantielle mais non quantifiable des mises à pied de 1926 à 1929 aurait dû être traitée dans la catégorie « autres ». ...

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... Parfois une majorité de départs (2/3, 3/4, 3/5) ou même une moitié (pour ceux qui enregistrent six ou sept embauches) sont les mêmes. ...

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... Malgré le caractère novateur de cette approche — nous ne connaissons aucune recherche équivalente au Canada —, les périodes et les localités couvertes par les sept sociétés ne représentent qu’une toute petite portion de l’ensemble des sociétés minières ...

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... Nous avons finalement retracé 173 individus qui ont travaillé, entre 1913 et 1945 (et même plus tard), pour au moins deux des sept sociétés, un nombre juste suffisant pour tirer quelques conclusions. ...

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... voire une troisième embauche auprès d’un des sept employeurs, l’ensemble totalise 523 départs, chacun ayant au minimum deux départs. Examinons d’abord le nombre et les causes de départ de ce groupe au tableau 10.4. ...

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... Pour répondre convenablement, il convient de préciser que chaque travailleur a fait l’objet d’une fiche synthèse qui présentait, dans l’ordre chronologique, son embauche pour l’une ou l’autre des sept sociétés minières avec notamment les antécédents déclarés ...

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... D’ailleurs, cinq des sept individus du tableau 10.5 le font en moins d’une semaine en demeurant dans la même localité (quatre entre les deux sociétés de Timmins et un entre les deux sociétés de Val-d’Or). ...

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... 127 134 chapitre sixième Les travailleurs de la Noranda 1926-1939 : une première prise de vue 143 Guy Gaudreau Les Canadiens français et le travail minier La mobilité géographique La durée de l’emploi et les causes de départ 149 152 158 chapitre septième ...